Rocks, bile, night, moods, ink, voice, mourning, chasms, myths are all motifs contained in the proposal Quelque chose noir. From the colour to the reminiscence of Jacques Roubaud’s text, black may be a very crowded nothing/Rien – this is one of the many ways of approaching an exhibition conceived, in the juxtaposition contemporey and ancient works, as journey through the depths of colour. About twenty artists are invited to
meddle in the works of Jules-Elie Delaunay, Victor Hugo, Hans Bellmer or Fred Deux to name but a few. Darkness has its way of radiating, be it through the image, fixed or moving, through the text, whether it is read or written, or via sound, painting, the lines of drawing. Colour, limited to its presuppositions of non or anti-colour, carrying images and evocations of scotopic vision, is revealed through the minute. For if lack of perception is not black, the combination of both gives way to gradual adaptation. A life is raging behind the visible. Sound pieces, volumes, films and prints accompany this journey towards the depths of an indistinguishable chromatic field where hidden follies move. A cycle of readings will prolong this ambulation in the hidden and its nuances.
Hans Bellmer, Benoit Blanchard, Mathieu Bonardet, Gladys Bregeon, Anne-Lise Broyer, Charlotte Charbonnel, Clara Chichin, Alice Chochoy, Amaury Da Cunha, Nicolas Daubannes, Raphaël Denis, Fred Deux, Julien Adolphe Duvocelle, Sarah Feuillas, Anne-Charlotte Finel, Agnès Geoffray, Victor Hugo, Marc Lathuilliere, Pierre Liebaert, Jonathan Llense, Charles Lopez, Christophe Manon, Aurore Pallet, Bertrand Rigaux, Héloïse Rouard, Doriane Souihol, Marie Sommer, Stéphanie Solinas, Maxime Touratier, Mario Alejandro Yllanes, etc..
Galerie Gradiva
Outre son expertise en œuvres modernes et impressionnistes, la Galerie Gradiva s’ouvre depuis 2015 à l’art contemporain avec un pôle qui lui est dédié.
Fanny Lambert, critique d’art, enseignante et commissaire d’exposition, est en charge d’en développer la programmation. À travers une volonté de faire dialoguer les différentes temporalités, elle cherche à convoquer les objets en dehors du traditionnel white cube et s'attache à conduire une mise en regard de l'art contemporain et de l'image dans les pratiques actuelles. Ici, c’est le contraste entre une monstration d’art actuel et l’écrin feutré de la galerie qui est en jeu, ainsi qu’une volonté d’accompagnement d’un art émergent.
Plus récemment, la galerie a inauguré un cycle de rendez-vous « Projection/Discussion » autour du cinéma. Spécialistes, critiques ou artistes sont invités à échanger autour d’un film projeté lors d’une séance dans les lieux.